Elyna S. Alstreim
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 |  Sujet: Elyna Searl Alstreim { 1OO%  Mar 9 Mar - 22:51 | |
| Carte d'Identité Qui est Elyna Searl Alstreim ? Voici sa Carte d'Identité. Nous en apprendrons plus sur cette jeune fille. Nom : Alstreim Prénom(s) : Elyna Searl Âge : 17 ans Classe : Classe Première Descriptions Précises Mais... Comment est- elle ? Apparence, goût, caractère, qu'en est-il de ce qu'il y a dans sa tête ?!? Voici la réponse de l'énigme. Histoire ○ Passé d'une Personne ... Ce qui nous permet de considérer la beauté d'une fleur parfaite, est le fait qu'on prend le temps de s'arrêter pour bien la regarder. C'est le fait de passer cet instant en un état de parfaite tranquillité, sans continuer notre marche vers le ciel. Ouvre les yeux sur ce monde ensoleillé. Ne le trouves-tu pas tout simplement attirant de par ses magnifiques couleurs? Non, bien entendu que non. Tu préfères rester sourde devant mes paroles. T'es-tu seulement demandée comment tu étais venue à la vie ma petite? T'es-tu seulement remise en question de temps à autre, lorsque c'était vraiment nécessaire? ELYNA «Tous, nous sommes déjà morts alors que nous naissons. La fin existe même avant le commencement. Si vivre c'est savoir quelque chose, ce que nous apprenons en dernier est précisément cette fin, et lorsqu'enfin nous la voyons se profiler, tout ce que nous savons se résume à la mort. Nous ne devons rien essayer de savoir, car ceux qui ne peuvent triompher de la mort devraient rester dans l'ignorance. » C'est donc comme ça que tu la vois; la vie. Moi aussi auparavant , il me semblait possible de croire en la race humaine et en ce Dieu tout puissant. Personne ne m'approchait, tout le monde me repoussait de par ma timidité, j'étais la risée du quartier. Nous ne sommes au départ qu'ombre et lumière, ne l'oubliez jamais. Mes camarades de classe, je les voyais plus comme des parasites qu'autre chose. Certaines rares personnes parviennent à me mettre le grappin dessus, mais je m'en fais plus des alliés que des amis. Après tout... à quoi sert l'amitié? A quoi sert le mot 'amour', si ce n'est à nous détruire toujours un peu plus? Laisse ces fines larmes couler sur tes joues, ouvre toi un peu plus au monde et découvre toutes ces belles choses qui ne demandent qu'à attirer ton attention. Les Hommes tu n'as qu'à les ignorer, pense à ta vie et aux avantages d'être vivante. «Urusai Urusai UruSAI!», c'est ce que tu as envie de leur dire lorsqu'ils ne savent pas faire autre chose que se moquer de toi ou t'approcher d'un peu trop prés. Un long silence m'envahit l'esprit, et une voix caverneuse se fait entendre. «Aimerais-tu voir la mort juste une fois?». C'est brusquement que j'ouvre les yeux. Yeux braqués vers le ciel d'un bleu opalin. Un oiseau surpris de ce rapide mouvement, s'envole soudainement me faisant par la même occasion sursauter. TOMOE « Elyna-sama; est-ce que tout va bien? » Un visage enfantin vient se dresser au dessus de ma tête, me sortant bien assez vite de ma rêverie. Des images se restituent dans ma mémoire, me donnant un air apeuré devant elle. Sans crier garde, je me recule le plus possible jusqu'à l'arbre, rampant vers l'arrière. Etonnée de me voir réagir ainsi, la demoiselle s'avance une nouvelle fois vers moi, me fixant de ses grands yeux d'un agréable bleu clair. Oui, elle doit vraiment me trouver étrange. TOMOE « Elyna-... sama? » Une voix angélique. Cette voix qui résonne dans ma tête. Ses paroles qui se mélangent à celles de mon interlocutrice. Je suis si confuse. Je sens quelque chose de chaud se poser sur mon épaule, et tout en baissant légèrement la tête, je crois apercevoir sa main. Je me calme. Tout disparaît. Tout redevient normal. L'herbe fraîche du matin court paisiblement contre le tissu de ma robe, m'arrachant un petit frissonnement. La petite, encore quelque peu désolée de m'avoir extirpé de mes pensées, se loge sur mes genoux et pose délicatement ses lèvres sur l'une de mes joues. Je suis habituée et seul ce contact peut parvenir à me redonner ma bonne humeur d'antan. Voyant ma volonté de sourire, elle me saute bien vite autour du cou, me faisant basculer vers l'arrière. TOMOE « Dis, dis, dis Elyna-sama, tu vas jouer avec moi aujourd'hui? Hein? Hein? Hein? »
ELYNA « Oh heu je... »
TOMOE « Dis Elyna-sama... Pourquoi est-ce que tu ne parles jamais de ta maman et de ton papa? » C'est bien la première fois qu'elle me pose cette question. Ouvrant de grands yeux, je tente néanmoins de cacher ma surprise et dépose délicatement une main sur le haut de sa tête, lui adressant un petit sourire à la fois confus et peiné. Comment est-ce que je m'appelais au départ? Qui étaient mes parents? Comment était ma mère? Si seulement je pouvais avoir les réponses à ces questions. Ais-je vraiment existé avant? ELYNA « Tout le monde n'a pas la chance de connaître ses parents... »
TOMOE « Hum? »
ELYNA « Je disais que j'évite de parler de ma maman et de mon papa. »
TOMOE « Mais pourquoi hein? Pourquoi? »
ELYNA « Eh bien... C'est à dire que... »
TOMOE « Allez Elyna-sama; raconte moi! Raconte moi! » Comment lui expliquer à cette petite fille que je ne sais plus rien. Comment pourrais-je lui dire cela sans lui faire de peine. Tout ce que je peux lui dire, c'est que je suis née au japon, voilà tout. Minable n'est-ce pas? Elle est à la fois ma confidente et comme ma petite soeur. La fixant de mon regard perçant et tendre, je me décide de mettre le maximum de choses en place. ELYNA « Il était une fois... »
TOMOE « Hey mais je veux que tu me parles de toi! Pas que tu me racontes une histoire. »
ELYNA « Tu me laisses à peine commencer Tomoe. »
TOMOE « Pardon... »
ELYNA « Je disais donc qu'il était une fois une petite fille totalement perdue. De par son apparence, elle semblait bien normale, mais se faisait repousser par toutes les personnes qu'elle croisait, toutes sans exception. Un soir, alors qu'elle rentrait paisiblement chez elle... alors qu'elle rentrait paisiblement chez elle... Elyna croisa un groupe d'enfants de son âge. Toujours souriante et admirative devant les autres elle... elle s'est avancée vers eux. » Ma voix se faisait de plus en plus sombre, mais à vrai dire, je ne m'en rendais pas vraiment compte. Le regard de la gamine toujours braqué sur moi, je pouvais voir ses pupilles s'agrandir au fil de mon récit. ELYNA « En ce temps, tout le monde prétendait qu'elle était une genre de sorcière. Une sorcière portant malheur aux proches des familles. Une vraie insulte. Les enfants desquels elle s'approchait lui ont jeté des pierres, jusqu'à ce qu'elle finisse par s'écrouler sur le sol, couverte de sang. » La seule chose dont je me souviens. Cette souffrance qui m'était accordée. Je porte encore quelques traces de ces 'attentats' non désirés au niveau de mon dos. Ma haine des Hommes vient en grande partie d'ici, et rien ne semble prés à me faire reculer. Je défends la violence parce que j'en ai subi les conséquences et que pour rien au monde, je ne voudrais que cela se reproduise sur quelqu'un d'autre. Aucune émotion ne se dégage de mes iris et c'est en ayant peur que la petite se met à reculer. ELYNA « Personne ne l'a cherchée. Personne n'a cherché à la retrouver de par ses jours d'absence. Parce que personne ne tenait à elle; personne sur qui compter. Elle est rentrée chez elle. Une maison vide. Qu'est-ce qu'elle était petite cette gamine... Pas de parent. Pas même la moindre présence humaine pour l'aider à soigner ses blessures. Il n'y a rien à envier d'elle... Vraiment rien. Et puis... on dit qu'elle a ensuite quasiment tout oublié de sa vie. On dit également qu'elle a tiré un trait sur ses souvenirs passés, ne cherchant plus à rien savoir. »
YUKI « Tomoe? Tomoe où es-tu? Ah te voilà. Elyna... je ne m'attendais pas à ce que tu sois ici à cette heure.» Refaire surface après m'être à moi même rappelée certaines choses. Mes yeux jusqu'à maintenant sobres s'étaient soudainement remplit d'un liquide transparent; coulant par la suite délicatement sur mes joues. La gamine regardait son père et moi en même temps. Il arrive au mauvais moment. J'ai posé une main sur mes tempes, voulant à tout prix faire disparaître cette atroce douleur qui s'intensifiait au fil des pas de l'adulte. Il venait vers nous, ne semblant pas encore s'être aperçu de mon état secondaire. Sa fille ne bougeait pas, partagée entre la pitié de me voir ainsi -donc de me sauter dans les bras- ou de courir le plus vite possible dans les bras de son papa. Je n'ai pas besoin de leur pitié. Relevant les yeux, j'affichais un regard mauvais. ELLE a tout tenté pour que je raconte cette foutue partie de mon passé! Cette gamine a tout foutu en l'air, jusqu'à mon état mental! Eprouvant le regret de m'être confiée à une enfant, je me souviens m'être relevée, furieuse, les poings serrés. ELYNA « Je n'ai pas besoin de votre pitié. » Je me suis élevée toute seule. J'ai connu le monde sans l'aide de personne. Depuis cet accident, je me suis encore plus refermée sur moi même, n'adressant la parole qu'à quelques rares personnes, et encore les mots sont assez faibles. Avec les années, j'ai réussi à lentement m'intégrer dans un pensionnat, évitant le plus possible le contact avec les autres, m'isolant du reste du monde. Tout le monde me donne des surnoms que j'encaisse plus ou moins bien, mais à vrai dire... Je m'en contre fiche. La première année se révéla assez difficile pour moi. J'ai été dans l'obligation de partager ma chambre avec d'autres personnes, de cohabiter donc. La présence d'autres personnes me rend quelque peu froide, je n'y peux rien. Maintenant en dernière année, je suis passée maitresse dans l'art de la provocation, n'hésitant pas à me défendre lorsqu'il le faut et même à piquer les gens en cas de gros soucis. Malgré les apparences, j'ai évolué et devenue une jeune fille protectrice envers les plus faibles. Dans ce pensionnat, il est interdit d'avoir une relation amoureuse... Ce n'est peut-être pas si mal me direz-vous. Mais que me réserve donc l'avenir? Des souvenirs retrouvés, des rencontres plus agréables?  ○ Beauté ou au contraire Laideur ? :3  Je ne sais pas ce qui est beau, mais je sais ce que j'aime et je trouve ça amplement suffisant. Les autres peuvent bien dire ce qu'ils veulent, rien ne me fera changer de style vestimentaire. Je ne sais pas précisément ce que je mettais dans le temps, lorsque je n'étais encore qu'une enfant mais la photo qu'il me reste, me donner une impression de déjà vu, de niaiserie sans faille. Une fille trop chochotte peut-être. Quand je l'observe cette photographie, j'ose encore me demander comment j'ai pu être enfant. Mes yeux donnent une vision différente de votre monde. Mes yeux raduisent des choses que vous ne comprendriez pas. La violence. C'est un mot que j'ai totalement enlevé de mon vocabulaire et lorsque j'ai le malheur de me retrouver devant une bataille, je me défile bien vite. Enfin au pire, tout ce que je fais c'est séparer les deux combattants mais... non sans conséquence.« La première fois que j'ai pu la voir, j'ai senti un frisson me parcourir. Son teint contrastait étrangement avec ses petites joues rougies. D'ailleurs c'est la seule chose qui m'a sauté aux yeux lorsque je l'ai regardé. Ses mains tremblaient légèrement -signe d'un grand énervement je pense-. Au delà de ses allures de Reine des Glaces, cette fille ne doit pas être aussi méchante et terrible que cela. Le plus souvent, les filles tiennent ce genre de rôle pour se donner une importance aux yeux de leur lycée, mais là je sentais parfaitement que c'était très différent. Quelque chose d'étrange émanait d'elle. En fait, je vous fais cette description assez soudainement car je n'ai pu l'apercevoir que pendant quelques secondes, le temps qu'elle passe furibonde devant moi. Il me semble que des larmes voulaient s'échapper de ses beaux yeux, oh si vous saviez j'ai vraiment voulu lui adresser la parole... Mais elle semblait tellement hors d'elle -et je ne voulais pas passer pour un mec qui console toutes les nanas en détresse-. La vision d'une gamine malheureuse me fend le cœur. Enfin, j'ai cru comprendre que l'appeler 'gamine' l'embête plus que la moyenne. Il faut dire qu'en même temps, elle n'est pas aussi grande qu'elle devrait l'être. Cependant, rien de bien méchant.» De temps à autre, je me promène en ville, seule. Des regards se posent sur moi, mais je les esquive beaucoup trop droite pour me permettre un quelconque commentaire. Grande adoratrice de la mode, j'aime à créer mes propres habits et collections -je suis d'ailleurs une fille qui passe plus de temps à lire et à imaginer des tenues qu'autre chose-. Les gens qui m'entourent ne m'apportent rien. Les gens qui m'entourent ne méritent que ce qu'ils méritent. J'observe les autres filles dans le pensionnat. C'est fou de voir comme je suis petite,facilement une ou deux tête de moins. Mes yeux ont une étrange teinte ambre-orange, qui les fait nettement sortir du lot. Me regarder dans la glace, je n'aime pas ça non plus. Comment peut-on passer le plus clair de ses journées à se venter de mérites que l'on n'a pas? Totalement ridicule. Aimant plus que tous les vêtements traditionnels, il m'arrive d'en acheter. Les bijoux, très peu pour moi. J'aime tout ce qui est fantaisiste, mais certainement pas toutes ces petites choses qui jurent sérieusement la plupart du temps, avec mes goûts. Je collectionne les sous-vêtements: Est-ce que ça vous étonne? Bien entendu je vous en parle là parce que je n'ai rien d'autre à faire et puis ça fait un peu passer le temps à vrai dire. Vous êtes l'une des rares personnes à qui j'ose vraiment me confier, profitez-en. En dentelle. Tous mes sous-vêtements sont en dentelle. Ne rigolez pas, je vous défends d'éclater de rire! La dernière fois qu'un garçon s'est infiltré dans ma chambre, il a découvert mes petites culottes et a comme qui dirait... bavé? Dégradé mon si magnifique parquet? Pas vraiment évident de tout vous expliquer comme cela, du peu de souvenirs qu'il peut me rester. Dîtes-vous que vous avez devant vous une jeune fille qui ignore tout de son passé et qui ne fait rien pour le retrouver. Pour me sortir de cette solitude, j'ai même demandé à changer de nom et de prénom. C'est fait. Alors je disais donc que le garçon en question a passé un sacré quart d'heure. Les mots sont si faibles. Mon visage est fin. Mes bras sont réconfortants -seulement lorsque je le désire-. Mes yeux doux -lorsque je le veux aussi-. Ma voix est angélique. Enfin ce n'est pas moins quie l'ai dit, juste l'un de mes rares amis. Il y a aussi tout un tas de sentiments qu'on éprouve qu'au moment où l'on est tombé au plus bas. On s'oppose souvent à des choses bonnes pour nous, mais, quand on est au bord du gouffre alors, à ce moment-là, on commence à avoir envie de bonnes choses pour consoler notre douleur, il faut de la gentillesse pour que l'on sache que les ténèbres existent, il faut du soleil. Il ne faut négliger ni l'un, ni l'autre. Tout est précieux dans la vie. Caractère ○ Comment t'es toi ?  En ce monde, il existe de la malice qui naît de la bonté. Il existe également de la bonté qui naît de la malice. On juge les gens parce qu’ils sont liés aux autres et au monde, qu’ils le veuillent ou non. C’est leur destin. Dans ce cas, lorsque les sentiments personnels de quelqu’un se retrouvent confrontés à la volonté du monde, cette personne est considérée comme une vulgaire existence confuse et vaine. Péché et châtiment. Destinée et jugement. La haine fait-elle partie de la nature humaine ? Quand bien même, à présent il peut être reconnaissant. Oui, au moins… Les hommes courent après l’existence du bonheur. Un rayon d’espoir, un vague souhait, ne peut jaillir que du désespoir. Je ne souhaite pas me battre, mais les agissements des forts tuent aveuglément les faibles. C’est impardonnable ! Seuls ceux qui sont préparés à mourir peuvent tuer. On m'a prêté un parapluie... quelqu'un me l'a pris. Si un inconnu a pris le parapluie, c'est parce qu'on ne se connaissait pas? Pas forcément... Quelqu'un que tu connais peut tout à fait te prendre quelque chose sans rien dire. Donner à quelqu'un qu'on connait, donner à quelqu'un que l'on ne connait pas... Prendre à quelqu'un qu'on connait, prendre à quelqu'un qu'on ne connait pas... Il se passe bien des choses entre les gens. Oui parce que tous les gens sont différents. Tout est tellement compliqué qu'il est maintenant plus facile de se perdre dans de simples actions, que dans un labyrinthe. La nature humaine me paraît bien difficile à comprendre, même moi parfois je me remets en question; me demandant pourquoi je suis comme 'eux'. J'encaisse mauvaise nouvelle sur mauvaise nouvelle et au bout d'un moment... j'arrive à saturation. Lorsque votre esprit vous dit stop, et que pourtant vous continuez à toujours vouloir agir, vous finissez par prendre goût à cette violence devenue quotidienne; ces sempiternelles guerres; ces massacres ignobles. Monstres. Tous les humains sont des monstres. Dès lors que l’on agit -ou que l'on parle-, on obtient une réaction appelée « conséquence ». Il n’y a pas d’exception. Pas même une pauvre âme en perdition qui puisse sortir du lot. C'est bien entendu sur ce chemin que je trace ma route, réfléchissant toujours avant à ce qu'il faut dire, mettant en place dans ma tête les éventuels 'mea culpa' à faire. Un grand travail, mais j'y parviens toujours sans trop de casse. Je veux au moins un monde sans guerre. Un monde où l’on ne perdrait pas ses proches. Un bien beau monde… Un univers impossible à concevoir en somme. Un ridicule cercle vicieux. Arrêtez votre idéalisme. Les plus belles roses sont parfois les plus dangereuses et difficiles à approcher. Se doit-on vraiment de blâmer ce dicton? Rares sont les hommes et femmes qui parviennent à m'approcher sans aucune méfiance, sans aucun étonnement. L'air souvent rêveur et pensif, on peut penser que je suis constamment dans la lune mais ce n'est qu'une simple couverture. Une couverture qui me protège de ce que nous pourrions appeler: « sentiments ». Le secret de ma véritable apparence n'est rien comparé à celui de mon cœur. Personne ne peut rien y comprendre. Personne n'y comprendra jamais rien. Malgré les apparences, vous découvrirez que je suis à la fois froide et douce. -Les deux à la fois?- Oui, oui, les deux. Par moment quand je sens que mon estime peut reposer sur les épaules d'une personne bien particulière, il n'est pas rare que je m'y attache. Dans les cas contraires, il faut s'attendre au pire. Capable de passer à côté d'ennemis sans broncher, je suis la reine des glaces. Pour aller de l'avant et pour grandir il est parfois nécessaire de blesser autrui; mais cette réalité est difficile à accepter. Je pense qu'en réalité, personne ne vient au monde avec une image précise de sa propre raison d'être. Chacun de nous doit trouver cette raison, en avançant dans la vie et en affrontant les difficultés avec persévérance. La raison pour laquelle nous sommes nés, celle pour laquelle nous pouvons continuer à exister, notre "raison d'être". C'est comme si nous la décidions nous-mêmes. Pour ma part, je ne pense pas encore l'avoir trouvée. Ma froideur n'a pas d'égale et malgré toutes vos bonnes intentions, je pense que cela ne pourra pas vraiment changer. Outre le fait que je sois ce que je suis... Pensez-vous seulement parvenir à m'approcher sans avoir peur de vous faire rembarrer? Si je suis comme cela, il y a une raison. Si je suis comme cela, c'est que j'ai été déçue. Si vous saviez, vous ne penseriez même peut-être pas du tout. Les éches, j'ai beaucoup trop connu ça dans le temps pour encore me faire berner. Trop naïve. Trop simplette. Trop innocente. Pourtant, je me dis qu'il ne faut rien négliger même si l'on nous trompe de nombreuses fois, rien n'est jamais perdu tant que nous avons décidé de nous servir de ces échecs pour continuer à avancer. Toutes nos expériences sont comme de l'engrais. Elles servent à nourrir notre personnalité. Voilà ma manière de voir la vie. Mystique. Mystérieuse. Arrogante. Insolente. Joyeuse. Amusette. Six mots en totale contradiction. Six mots qui expriment un trait de caractère différent. Six mots me dévoilant subitement. Six mots qui ne trouvent de réelle signification pour personne, vu que ces six mots changent en fonction des personnes en face de moi. Apprendre à dire pardon; apprendre à accepter des excuses, je ne sais pas toujours faire.
Codes du Reglement Dans le Reglement de Pensionnat Mahoru RPG, trois Codes y sont cachés. Nous avons instauré ce système pour que vous lisiez attentivement le Reglement, et en entier si possible. Codes Validés par Miharu Hanashiyu Qui es-tu ? À présent nous connaissons votre Personnage. Mais qu'en est-il de vous ? Prénom : Anonymous <3 Âge : 16 ans x3 Passion : Dessiner; écrire; lire; jouer à la Wii aussi *O* Où avez vous connu le Forum ? : Je crois que c'est en parcourant les partenaires d'un forum; mais sincèrement je ne sais plus lequel T.T Un avis sur PM ? : Je love le Design; Good Job <3
Dernière édition par Elyna S. Alstreim le Dim 14 Mar - 17:17, édité 71 fois |
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