Qui est ? Voici sa Carte d'Identité. Nous en apprendrons plus sur ou.

Nom : Matsuda
Prénom(s) : Shiori
Âge : 21
emploi : Responsable d'Ahura, la salle de détention.


Mais... Comment ou ? Apparence, goût, caractère, quand est-il de ce qu'il y a dans sa tête ?!? Voici la réponse de l'énigme.

Histoire

Un samedi soir comme bien d’autres où la turbulence et le bruit règnent tels des rois, maitres d’un univers restreint et étouffant. Encombré de vieilles boites vides, de poussière et de cannettes de bière. Dans son esprit, elle se demande ce qui la pousse à subir ce traitement plusieurs fois par semaines. Son univers n’est pas aussi accueillant qu’elle le voudrait. Ce bruit, tout ce bruit qui l’entoure. Combien de temps encore supportera-t-elle tout cela. Le visage de sa sœur apparait devant ses yeux. C’est dingue combien elles se ressemblent. De vrais jumelles, si jolie, si intelligentes. Un voile descend lentement sur son visage, teintant de rouge chaque parcelle de l’expression inquiète de sa sœur. Comme au ralentit, ses lèvres bougent, mais Shiori ne peut rien entendre. Un sifflement strident ne cesse de lui démolir les tympans, elle ne ressent plus rien, n’entend plus rien. Seulement ce sifflement et le visage de Miyu. Son si joli minois, caché par ce voile rouge qui ne cesse de se mouvoir. Un peu comme s’il était fait d’un liquide épais. « Pourquoi tu saigne » pense-t-elle alors. Un rictus se forme sur le coin de ses lèvres l’espace d’un instant. Elle protège sa sœur, et voila qu’elle saigne. Aurait-elle échoué.

Soudain, le temps qui semblait s’être presque arrêté reprend son cour aussi brusquement qu’un train entre dans un tunnel. Le sifflement s’estompe et laisse place aux pleurs aigue de sa sœur ainsi que les cris tonitruants d’un homme aux capacités affaiblies par l’alcool. L’adrénaline fait son chemin dans le corps de Shiori. Elle se rend compte que le sang qu’elle pouvait voir n’était pas celui de Miyuri, mais son propre sang. Des morceaux de vitres se trouvent sur le sol et sur ses épaules. Ce qui a causé cette impression d’éternité, de temps immobile n’était autre que les conséquences d’une bouteille de verre fracassé sur sa tête. Mais tout ça, elle n’y comprend rien. Son cerveau est incapable d’analyser quoi que ce soit en ce moment précis. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle est en danger. Un danger indescriptible qui l’urge de se lever. Bien que chancelante, elle agrippe le poignet de sa sœur jumelle et se précipite vers la porte d’entré du minable appartement insalubre. Les restes de l’arme dont le fou qui lui sert de père s’est servi pour assommer Shiori se fracasse bruyamment sur la porte au moment même où elle pose la main sur la poigné. Sa sœur pousse un cri où se lisent la peur et l’angoisse. Shiori pousse la porte et entraine Miyu vers l’extérieur aussi rapidement que ses jambes le lui permettent. Des bruits de pas lourd les suivent pendant un moment, heureusement ceux-ci s’estompent plus rapidement qu’elle pouvait l’espérer.

Sans avoir la moindre idée de l’endroit où aller ni connaître le moindre refuge pour elle se sa sœur, elle coure sans lâcher le poignet de Miyu. Si ce n’était de sa grande perte de sang, de l’épuisement des deux adolescentes, Shiori aurait continué sans relâche. Malheureusement, son état était bien plus grave qu’il n’y paraissait. Sa vision s’embrouille, ses membres deviennent lourds. Mais elle refuse d’arrêter. Elle pousse son corps au-delà de ses limites seulement pour s’éloigner le plus possible de son affreux paternel. Son visage ensanglanté rencontre un obstacle. C’est à ce moment qu’elle perd conscience, une expression de cruauté pure affichée sur son visage, même inconsciente elle semble vouloir continuer.

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C’est quelques années plus tard, après les événements qui ont mené à la dissolution du gang de yakusas qui l’ont hébergé et soutenu que nous retrouvons Shiori. Loin d’être satisfaite du déroulement des événements, elle cherche à retrouver celui à qui elle doit tant. Autant pour elle-même que pour sa sœur. Cependant, un bon nombre d’anciens membres sont enfermés derrière les barreaux ou complètement disparus. Tous les efforts qu’elle met à retrouver Tatsuya ne sont pas en vain, puisqu’un beau jour elle parvient à entrer en contact avec un des anciens membres. Affirmant travailler pour Tatsuya en tant que garde du corps, Shiori saute immédiatement sur l’occasion. Ses intentions sont claires, mais le destin ne fait pas toujours les choses comme on le souhaite. Bien sur, elle est arrivée à bon port, c'est-à-dire au rez-de-chaussée de l’entreprise gérée par son ami. Mais de là à dire que tout est bien qui finit bien, c’est un peu tiré par les cheveux. En effet, elle n’est pas exactement entrée seule. Les policiers n’étaient pas de cet avis, vous voyez. Suspectée de vol, ils l’avaient poursuivi jusqu’à l’entrée de l’entreprise. Si elle affirmait n’y être pour rien, les forces de l’ordre ne voulaient rien entendre. Au lieu d’impliquer Tatsuya dans tout ça, elle l’y enfonce par-dessus la tête. C’est à lui qu’elle demande de l’aide.

Ce qu’elle souhaite, ce qu’elle cherche et ce qu’elle fait ont toujours été contradictoire. Le jour où elle changera est encore bien loin. Mais sa vie ne fait que commencer. Grâce à Tatsuya, elle fut dirigé vers le pensionnat afin d’y postuler comme responsable de la salle de détention. Ça ou les emmerdes juridiques. Le choix fut plutôt facile compte tenu les circonstances.



Apparence Extérieur

Bien qu'elle sache parfaitement que son charme et sa beauté sont difficilement jumelé à l'adjectif "Laide" ou "médiocre", Shiori n'y porte pas la moindre attention. N'ayant jamais eu les moyens de se payer des soins de beauté et tout le patras qui vient avec, elle se contente d'être elle-même. Dans son cas, il est déjà bien difficile de se différencier de sa jumelle, c'est pourquoi elle s'efforce d'établir une limite coté ressemblances. Si sa cicatrice au sommet de sa tête offre un élément majeur, c'est loin d'être suffisant pour Shiori. Outre une bague chipé il y a un bon moment dans une bijouterie, elle se refuse à porter le moindre accessoire superflus. Si quelqu'un ne faisant pas parti de l'entourage de Shiori devait se prononcer sur un trait distinctif, presque aussitôt sa réponse serait donné. Les traits du visage de cette dernière ont rarement vu la lueur d'un sourire. Du moins, un sourire réel.

Shiori atteint la taille exacte de cinq pieds et six pouces. Selon certain, c'est une taille respectable. Selon d'autre, c'est minuscule à souhait. Si ses cheveux d'un vert sombre sont teints, alors il s'agit là d'un travail long et ardu si l'on considère qu'ils atteignent le milieu de son dos. Ses yeux affichent un bleu-vert digne des roman-savon qui passent à la télé alors que son minois affirme tout le contraire. Sa peau peu être considéré comme pâle, ce qui est tout à fait normal puisque elle passe le plus clair de son temps à fuir le soleil. Coté vestimentaire, bien qu'elle préfère de loin les yukatas et les habits féminins, elle n'a rien contre les tenues plus légères ou courante. Elle se fie surtout à la température, comme bien des gens.


Caractère

Bien entendu personne n'est parfait, et Shiori est encore plus loin de cet idiome qu'un poisson l'est du soleil. Cette comparaison peut paraitre absurde, voir même impossible. Hélas rien n'est plus vrai. Mentir est tout aussi important que de respirer, provoquer les autres semble aussi bénéfique qu'un bain chaud après une dure journée de labeur. Non seulement le sait-elle, mais en plus elle ne fait rien pour se corriger. Il y a bien sur quelques exceptions, mais combien de mortels l'ont entendu se confier et resté en vie par la suite? Ils se comptent sur les doigts de la main. Elle n'est pas honteuse, elle n'a pas peur. C'est une dure à cuire, fille de la ville et de la rue. Mais combien de ses paroles sont véridiques, combien de ses actes sont fait pour autrui. Il n'existe en ce monde rien qui ne puisse l'ébranler. Rien qui ne puisse l'atteindre. Elle se moque des apparences, des ouïe-dires. Violente par moments, menaçante par d'autres. C'est là tout ce qu'elle montre d'elle en publique. C'est ainsi qu'elle repousse les gens, qu'elle s'isole.

Cependant, le monde n'est pas tout blanc ou tout noir. Les apparences extérieure sont souvent trompeuses. Derrière le mur de mensonge, la façade de la violence et le masque que porte Shiori se cache une jeune femme meurtrie et fragile. Si elle s'est juré de laisser le passé derrière et de tout oublier, ce n'est pas l'avis de son subconscient. Ses désirs de vengeances sont peut être vrais, ses actes sont peut être réels, mais à l'intérieur d'elle-même ce n'est pas ce qu'elle veut. Hélas, pour subvenir à ses besoin ainsi qu'à ceux de sa soeur jumelle, pour se proteger du mal que peut causer le monde extérieur, Shiori ne recule devant rien. Que cela cause sa perte, aussi longtemps qu'elle et sa soeur peuvent profiter d'un toit et manger à leur faim dans un endroit sécuritaire, elle fera tout ce qu'il faudra. C'est déchirée par ses principes qu'elle se voit lancée à travers les rues et ruelles de la ville, derrière une arme ou bien dans le lit d'un autre. Tout au fond d'elle-même, elle se demande si le prix n'est pas un peu trop cher payé.



Dans le Règlement de Pensionnat Mahoru RPG, trois Codes y sont cachés. Nous avons instauré ce système pour que vous lisiez attentivement le Règlement, et en entier si possible.

Validé par Miharu Hanashiyu


À présent nous connaissons votre Personnage. Mais quand est-il de vous ?

Prénom : j'ai le droit de pas le dire?
Âge : 23 ans (le 20 mai...)
Passion : Lecture, Animes, Écriture, Arts, Musique et le riz espagnol
Où avez vous connu le Forum ? : l'ami d'une amie d'un ami que je connais? nah, Kurisuteru!
Un avis sur PM ? : ...j'ai mal aux yeux? c'est beaucoup trop pâle. vous avez idée de la difficulté que j'ai eu à lire vos règlements!? même ma propre écriture dans ce tableau est une véritable torture pour les yeux. Changez au moins le vert lime pâle pour un vert plus foncé, je sais pas moi, mais tout se fond ensemble, c'est à en donner des migraines.